top of page

Le Livre de Taliesin - Résumé

Auteur(s) anonyme(s) (certains textes sont attribués au barde gallois Taliesin):

 

- Le Livre de Taliesin 
(date : XIVe siècle, langue : moyen gallois, titre original : Llyfr Taliesin), recueil dont certains textes peuvent remonter jusqu’au VIe siècle, où vécut le personnage historique de Taliesin, barde laudateur du roi Urien de Rheged, résistant breton face à l’envahisseur anglo-saxon, plus tard intégré à la légende arthurienne avec son fils Owain, ou Yvain, incluant parmi cinquante-sept poèmes :

 

I - Frif Gyfarch (First address of Taliesin, mis à l’écrit au XIVe siècle)

Taliesin, auteur de ce texte, se présente comme un barde savant du nom de Gwion (c’est-à-dire Gwion Bach, cf. Hanes Taliesin d’Elis Gruffydd). Manifestement chrétien, il dit prier Dieu en secret, et pose beaucoup de questions sur la religion, comme la nature du monde avant Adam et Ève. Il se demande également quelle est l’étendue de la mer, et quelles sont les créatures qui la peuplent, affirmant que même Lleu et Gwydion (personnages que l’on retrouve notamment dans Math fils de Mathonwy), pourtant très sages, l’ignorent. Taliesin évoque également les invasions anglo-saxonnes, au grand désespoir des Gallois. Il mentionne les noms de Davyd (Saint David de Ménévie, probablement) et de Math, l’oncle de Gwydion.

​

II - Marwnad y Milveib (An elegy on the thousand saints)

Longue prière chrétienne, ce texte mentionne les saints d'Armorique et de l'île de Bretagne, ainsi que d'autres régions du globe telles que l'Irlande ou même Carthage.

​

VI - Armes Prydein Vawr (The Great Prophesy of Britain, vers 930)

Ce texte prophétise, notamment par la bouche de Myrdin (le barde gallois Myrddin qui deviendra le personnage de Merlin), des rébellions des gallois contre les Saxons, venus les envahir et les appauvrir depuis l’époque des leaders saxons Hors et Hengys (Horsa et Hengist), invités sur l’île de Bretagne par Gwrtheyrn (Vortigern). Ces rébellions conduiront les gallois et leurs alliés venus d’Irlande, de Cornouailles, d’Ecosse et du nord de l’Angleterre à la victoire totale au combat contre leurs envahisseurs. Menés par Cadwaladyr (Cadwaladr) et Cynan (peut-être Cynan Garwin) sous la bannière de Saint David, ils parviendront à expulser les Saxons hors de l’île.   

​

VII - Angar Kyfyndawt (The hostile confederacy)

Dans ce poème, Taliesin explique avoir été "formé une seconde fois", et avoir pris une multitude de formes animales telles qu’un saumon, un chien, un chevreuil, un taureau. Il dit également avoir été un grain dévoré par une poule, qui l’a alors porté dans son ventre. Autant d’éléments que l’on retrouve plus tard dans Hanes Taliesin d’Elis Gruffydd. Taliesin fait également l’éloge d’un certain Talhayarn (ou Talhaearn, personnage mentionné par Nennius dans l’Histoire des Bretons) qu’il considère comme le plus grand des astrologues. Les personnages de Kian (Gwenc’hlan?), Geraint (Erec), Garman (St Germain), Avagddu et Elphin, ainsi que la ville d’Eiddyn (Edinbourg) sont mentionnés dans le texte. Taliesin dit également ne connaître personne ayant un esprit aussi instruit que Gwydion.

​

VIII- Kat Godeu ou Cad Goddau (The battle of the trees)

D’après des textes plus tardifs (notamment le manuscrit Peniarth 98B), Cad Goddau correspond à une bataille qui eut lieu entre le roi Arawn d’Annwvyn et les frères Gwydion et Amaethon fils de Don, et mettant en scène des arbres enchantés. Le long poème Kat Godeu, au sens souvent obscur, se découpe en plusieurs parties. La première semble être racontée à la première personne par Taliesin, qui évoque notamment avoir vécu une multitude de transformations physiques dans le passé, et avoir été dans un coracle sur la mer (cf. Hanes Taliesin, où Keridwen l’abandonne à son sort dans un coracle). Dans une seconde partie, Taliesin chante la fameuse "bataille des arbres" : suite à un appel au Christ des bretons menés par Gwydyon (Gwydion), ceux-ci furent changés en arbres par enchantement. S’ensuit une longue série de vers détaillant le rôle de chaque arbre dans cette bataille. Enfin, une troisième partie du poème donne l’impression d’être contée par Blodeuwedd, qui dit n’avoir ni mère ni père, et avoir été formée à partir de fleurs par Math et Gwydyon, comme le relate le Mabinogi de Math, fils de Mathonwy. Le nom d’Arthur est brièvement mentionné dans le texte.

​

X - Kerdd Daronwy (The song of Daronwy)

Daronwy était un grand leader, d'après l'auteur de ce texte, qui annonce cinq nouveaux chefs et deux reines à venir. Il dit que les Cymry (les Gallois) trouveront une terre d'accueil après avoir été chassés injustement. Sont également évoqués certains motifs de Math le fils de Mathonwy : le coup de lance de Goronwy (Gronw Pebr, lorsqu'il assassine Lleu) et la baguette magique de Math, par laquelle apparut " une abondance de fruits".

 

XI - Cadau Gwallawg (The battles of Gwallawg)

Taliesin loue le leader Gwallawg et sa bravoure dans de nombreuses batailles.

​

XIII - Kadeir Taliesin (The chair of Taliesin)

Dans cette louange chrétienne, Taliesin pose de nombreuses questions sur l'origine des choses naturelles, qu'elles soient de bonne ou mauvaise nature. Par exemple, les vertus des plantes médicinales, ou la peste et la famine. Il fait référence à Gwion - lui-même, donc, et à l'eau bouillante de son chaudron (cf. Hanes Taliesin d’Elis Gruffydd).

 

XIV – Kerdd am veib Llyr ab Brychwel Powys (Song concerning the sons of Llyr ab Brochwel Powys)

Ce poème de Taliesin est très fortement empreint de christianisme. Taliesin y mentionne plusieurs batailles menées contre les fils de Llyr, contre Brochwel Powys et contre Urien. Plus généralement, il évoque la résistance des Cymry (les gallois) face aux envahisseurs anglo-saxons, dont il prédit l'arrivée en surnombre par bateaux, enviant sarcastiquement ceux qui vivront sous leur joug. Il dit ensuite s'être disputé avec Maelgwn à Teganwy (Deganwy) et avoir libéré son maître Elphin. Il dit également avoir participé à la « bataille des arbres » avec Lleu et Gwydion, et rappelle qu’il a accompagné Bran dans son expédition en Irlande - à laquelle Manawyddan et Pryderi ont également survécu, avant de le voir se faire tuer. Au cours du texte Taliesin mentionne également le chaudron de Ceridwen (Keridwen). Autant d'éléments que l'on retrouve dans Hanes Taliesin, Kat Godeu et le Mabinogi de Branwen la fille de Llyr.

On notera ici que Taliesin appelle Bran "Morddwydtyllon" - Mordwydd Tyllyon, comme celui-ci se présente lui-même dans le Mabinogi; ce nom signifie en vieux gallois « Cuisse Transpercée », ce qui permet de rapprocher Bran du personnage du Roi Pêcheur des aventures du Graal, parfois appelé Bron…

​

XV – Kadeir Teyrnon (The Chair of the Sovereign)

Ce texte annonce l'arrivée d'un meneur d'hommes, chef de guerre venu "détruire les nations". Arthur le béni est mentionné comme un guerrier renommé, sans qu'il soit clairement dit qu'il incarne le meneur annoncé.

​

XVI - Kadeir Kerritwen (The chair of Keridwen)

La sorcière Keridwen, auteure de ce texte, fait part de son admiration pour le magicien Gwydion, sage et doué pour conter, qui donna la vie à une femme à partir de fleurs, qui créa (par enchantement) une troupe de chevaux aux magnifiques selles, et rapporta des porcs du sud (du Pays de Galles), comme le rapporte le Mabinogi de Math, fils de Mathonwy. Elle raconte aussi l’avoir vu se battre contre un certain Gwythaint à Nant Ffrancon. Keridwen mentionne également son fils Avagddu (Avangddu), ainsi que Lleu et Arianrhod.

​

XVII - I'r Gwynt (Kanu y Gwynt – To the Wind)

Taliesin décrit ici le vent de manière poétique et métaphorique. Le contenu de ce texte est à mettre en relation avec l’épisode du Hanes Taliesin d’Elis Gruffydd, où Taliesin, par un chant, déclenche une tempête sur Caer Ddegannwy (Deganwy), le château de Maelgwn Gwynedd, et libère ainsi son maître Elphin.

​

XIX – Kanu y Medd (The mead song)

Dans ce poème Taliesin fait l'éloge de l'hydromel, cadeau de Dieu qui peut plaire à tous les hommes. Il semble supplier Maelgwn de Mona (Maelgwn Gwynedd) de libérer Elphin (cf. Hanes Taliesin), l'homme qui lui a offert vin, bière, hydromel et chevaux et pourrait lui donner n'importe quoi d'autre à sa demande.

 

XX – Kanu y Kwrwf (The song of the ale)

À l’instar de Kanu y Medd, un éloge de la bière est « chanté » ici. D’après ce texte, Dieu est à l'origine des bonnes choses dont les hommes profitent, telles que la chaleur du soleil, la nourriture et, la meilleure de toutes, la bière...

​

XXII - Plaeu yr Aipht / The plagues of Egypt (XIIIe-XIVe siècle)

Ce texte dont Taliesin est considéré comme l'auteur, renvoie aux dix fléaux d'Egypte décrits dans l'Ancien Testament. Ces fléaux, décrits un à un, constituent un châtiment divin du peuple égyptien, avant que celui-ci ne soit « noyé dans les abysses de la mer ».

 

XXIII - Trawsganu Cynan Garwyn (To Cynan Garwyn)

Dans ce poème, Taliesin fait l’éloge du généreux roi gallois Cynan Garwyn, bourreau des guerriers du Gwent, du "pays de la Wye" et de Cornouailles. 

​

XXV - Torrit anuyndawl ou “Canu y Meirch” (Song of the Horses)

La traduction de ce texte est très variable d'une source à l'autre. L'auteur y vante les qualités d'un cheval qu'il considère équivalent à d'autres montures de grands hommes tels que Taliesin, Arthur, Rydderch (Rodarch), ou encore Caradawg (Caradoc) suivant les versions. Potentiellement, ceci pourrait être mis en parallèle de la course de chevaux qui est contée dans Hanes Taliesin. À la suite du texte est accolée une liste de métamorphoses racontée à la première personne, à la manière de Taliesin, évoquant les péripéties de Gwion Bach.

​

XXVI - Y Gofeisws Byd (The Contrived World ou Sketch of the World)

Ce texte est un éloge d’Alexandre le Grand, "le meilleur et le plus beau des princes", qui vainquit trois fois Darius (III), et qui fut emporté par une fièvre. Une liste de ses terres est énumérée, comptant notamment la Syrie, la Perse, le pays de Cana et la cité de Babylone.

​

XXVIII - Anrhyfeddodau Alexander (The Not-Wonders of Alexander)

Dans ce second texte du Livre de Taliesin à la gloire d’Alexandre le Grand, l’auteur évoque les merveilles, mystères et créatures rencontrées par Alexandre lors de ses expéditions, "sous la mer" et "par-dessus le vent".

 

XXX - Preiddeu Annwn (The spoils of Annwn / Le sac de l’au-delà) (IXe-Xe siècle)

L'auteur de cette chanson se vante de connaître, contrairement à ses homologues bardes, de nombreuses traditions galloises, auxquelles il fait allusion dans les différentes strophes du texte. Ces traditions sont manifestement perdues aujourd'hui, mais l'on peut reconnaître certains motifs. Notamment, celui du chaudron du chef d'Annwn (le chaudron de Keridwen - cf. Hanes Taliesin?), ici réchauffé par le souffle de neuf demoiselles, dérobé par Arthur et ses hommes. Il est également dit qu'Arthur a fait des prouesses à Caer Wydr (Glastonbury?). Le texte fait état d’une expédition d'Arthur, à laquelle a participé l’auteur, dans Annwn (l'Au-delà), lieu appelé d'une manière différente à chaque strophe. Le butin ramené lors de cette expédition a donné son titre au poème. Comme c’est le cas pour beaucoup d’autres éléments du texte, il est difficile de comprendre ce qu'est vraiment ce butin, mais le chaudron semble en faire partie. Il est dit dans le texte que trois fois le nombre de personnes contenues sur Prydwen – Prydwenn est le bateau d'Arthur d'après Kulhwch et Olwen – ont pris la mer pour atteindre Annwn. Et seulement sept en sont revenu. L’auteur pourrait être Taliesin, du fait qu’il semble tenir ses dons de poète du fameux chaudron. De toute évidence, le sens de ce texte est obscur, mais le motif du chaudron est très intéressant car on peut le rapprocher à la fois du chaudron de Keridwen, source des dons divinatoires de Taliesin, et du Saint-Graal, objet de quête d'Arthur et de ses hommes dans les textes plus tardifs.

 

XXXI - Gwaith Gwenystrad (The battle of Wensleydale)

S’adressant aux hommes de Catraeth, Taliesin fait l’éloge de leur roi Urien et de son éclatante victoire à la bataille d’Ystrad Gwên (Wensleydale).

 

XXXII - Urien Yrechwydd / Ni'th Oes Cystedlydd (A song for Urien Rheged / You are the best)

Urien est présenté ici comme l’homme le plus généreux de la Chrétienté. Bourreau des Angles, il redistribue tout ce qu’il accumule lors de ses raids.  

 

XXXIII - Eg gorffowys / Urien Yng Ngorffowys / I Urien (A song for Urien Rheged / Urien at home / To Urien)

Taliesin se présente comme un barde comblé d’honneurs et de richesses par son roi Urien qu’il admire. Parmi ces richesses : de l’or, de l’argent, des terres comme celles de Llwyfenydd, ainsi que de l’hydromel en abondance !

 

XXXIV - Bei Lleas Urien (A Song for Urien Rheged / What if Urien were dead)

Dans ce poème Taliesin imagine Urien mort, revenant de bataille dans une bière, son visage et ses cheveux blancs teintés de sang.  

 

XXXV - Gwaith Argoed Llwyfain (The battle of Argoed Llwyfain)

Il s’agit ici de la bataille d’Argoed Llwyfain entre le Goddau et le Rheged d’un côté, dirigés par Urien, et les troupes de Fflamddwyn de l’autre.  

 

XXXVI - Arddwyre Reged (A Song for Urien Rheged / Rheged arise)

Taliesin évoque des batailles, dont celle du gué d’Alclud, menées par le Goddau et le Rheged contre les Angles. Il mentionne ici le fait qu’il n’est pas lui-même originaire du Rheged.  

 

XXXVII - Ysbail Taliesin (The spoils of Taliesin)

Ce poème très élogieux à l’égard d’Urien, seigneur de Catraeth, insiste sur sa possession légitime de Llwyfenydd. Sa richesse et sa grande générosité semblent être comparées à la beauté du printemps.  

 

XXXVIII - Rhagoriaeth Gwallawg (Gwallawg is other)

Taliesin chante ici à nouveau à la gloire de Gwallawg, courageux et généreux leader d’Elfed.  

 

XXXIX - Dadolwch Urien (The conciliation of Urien)

Taliesin loue une nouvelle fois la gloire d’Urien, à qui il restera toujours fidèle. Il rappelle la générosité de ce roi envers lui et évoque les richesses des terres de Llwyfenydd.  

 

XL - Marwnad Ercwlf / Elegy on Ercwlf

Ce texte est un éloge d'Ercwlf (Hercule), le héros mythologique grec. Il y est fait mention des (quatre) colonnes d'égale hauteur, qu'il a "placées dans l'ordre".

​

XLI - Marwnad Mad Drudd ag Erof Greulon / Elegy on Madawg the Bold and Herod the Cruel

Dans ce poème l'éloge du joyeux Madawg contraste avec la description du cruel Herod (Hérode), responsable d'après l'auteur de la "destruction" de Jésus, sans que ces deux personnages ne semblent liés. Il est fait mention dans le texte du meurtre du fils d’Uther.

​

XLIV - Marwnad Owain (The keening of Owain)

Ce poème est un hommage au défunt Owain, le fils du roi Urien.

​

XLV - Marwnad Aeddon of Fon (An elegy on Aeddon of Mona) (XIIIe-XIVe siècle)

Il s’agit ici d’un chant funeste en l’honneur de l’archidiacre de l’île de Mona (Anglesey), plus sage d’après l’auteur que Gwydion et Amaethon (personnages de Math, le fils de Mathonwy). Aeddon est peut-être un nom propre, à moins que cela signifie "diacre" en vieux gallois.

​

XLVI - Marwnad Cunedda (The death-song of Cunedda) (IXe-Xe siècle)

Dans ce poème, Taliesin déplore le décès de Cunedda (chef du Gwynedd au IVe siècle). Il le décrit comme un chef courageux et protecteur pour son peuple, et comme un adversaire terrifiant pour ses ennemis.  

​

LII - Gwawd Ludd y Mawr / The panegyric on Lludd the Great

Contrairement à ce que son titre pourrait laisser penser, ce texte n'évoque pas Lludd. Il s'agit d'une collection de fragments peu intelligibles. Un passage du texte est une satyre de la vie des moines, pleine de plaisirs et d'abondance. Cadwalader (Cadwaladr) et Cynan sont ensuite évoqués dans une prophétie de l'auteur.

​

LIV - Ymarwar Lludd Bychan (The reconciliation of Lludd the less)

Ce texte, qui tient son nom d’une mention de Lludd et Llefelis (Lleuelys), semble avoir pour thème l’invasion de la Bretagne par les Romains.

​

LV - Canu y Byd Mawr / The greater song of the world

Ce texte décrit les merveilles du monde et de l'espace - le soleil, les planètes - d'un point de vue très chrétien, attribuant à Dieu la création de toutes choses. À la fin du texte, l'auteur se présente comme Taliesin, qui n'aura de cesse de parler de sa voix prophétique jusqu'à la libération d'Elphin.

​

LVI - Canu y Byd Bychan / The little song of the world

Dans ce chant, Taliesin demande à tous ceux qui sont bardes, ce qui retient le monde de tomber, et sur quoi il tomberait si cela venait à se produire. La fin du poème, probablement écrite plus tard, répond à la question : ce sont les quatre évangélistes qui soutiennent le monde, dans la grâce du Saint-Esprit.

 

Source(s):

Taliesin, Or, the Bards and Druids of Britain [...], David William Nash, Andesite Press, 2015, ISBN 10: 1297556836 / ISBN 13: 9781297556838

Taliesin Poems, Meirion Pennar. Llanerch Press, 1988, ISBN 10: 0947992243 / ISBN 13: 9780947992248

The Book of Taliesin, from The Four Ancient Books of Wales, http://www.maryjones.us/ctexts/llyfrtaliesin.html

​

Note(s);

Les traductions en langages modernes des textes gallois de ce recueil laissent une telle place à l'interprétation que le contenu peut être très différent d'une traduction à l'autre. Il en va donc de même pour chaque résumé en fonction de la source choisie. Le lecteur pourra cependant prendre connaissance des grandes lignes de chaque texte. 

Kat Godeu
Kerd Veib am Llyr
I'r Gwynt
Angar Kyfyndawt
Kanu y Medd
Livre de TaliesinBis 300dpi.jpg

Le Livre de Taliesin

Deganwy 300dpi.jpg

Les ruines du château de Deganwy, au Pays de Galles

Nant Ffrancon 300dpi.jpg

Nant Ffrancon

bottom of page